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J’ai vu de nombreux cas de violences qui n’ont jamais mené à des plaintes des parents

Ce serait long de tout décrire. J’en ai vécu moi-même lors de mon accouchement prématuré, où l’on ne me laissait aucun choix, on m’expliquait peu, même lorsqu’il n’y avait aucun danger inhérent. J’ai subi une césarienne qui n’aurait pas dû survenir si on m’avait mieux expliqué et si on m’avait laissée bouger davantage. Aussi, en tant que doula, j’ai vu de nombreux cas de violences qui n’ont jamais mené à des plaintes des parents, qui voient rarement la gravité de ces VOG. Les plus fréquents sont l’absence de demande de consentement pour les interventions (soluté, antibio, toucher vaginal, etc.), l’absence de choix éclairé, mais des violences des verbales aussi de médecins qui rabaissent les femmes en travail, disent qu’elles supportent mal la douleur, agissent mal, etc.

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