En allant à mon deuxième rendez vous pour une colposcopie à l’hôpital, l’étudiante en médecine a poser un instrument dans mon vagin qui sert à ouvrir pour pouvoir aller faire la colposcopie ensuite. En posant l’instrument, elle a débuté par un format « normal » et après elle l’a changé pour un instrument plus petit et a dit à plusieurs reprise, » c’est très serré c’est très petit ». D’abord, je suis déjà petite je mesure 5 pieds et suis mince. Pour moi, ce n’est pas un commentaire à faire plusieurs fois de dire que c’est petit comme si mon vagin n’était pas de taille normale. Pour moi, je suis normale.
Elle m’a dit « une fois que l’instrument est posé, on attend le docteur ». L’attente à duré 7 à 10 minutes. J’aurais aimé qu’on pose cela à un moment où le médecin serait prêt et présent pour procéder. J’avais très mal puisque je suis célibataire donc je n’ai pas de relation sexuelle depuis plusieurs mois au moment de l’examen.
Comme je l’ai mentionné j’ai attendu avec un instrument douloureux à l’intérieur de moi. Pourquoi cette attente ? Je n’ai pas consentie à attendre comme ça et ça n’était pas mentionné. J’avais mal. La personne n’a pas appelé le médecin pour qu’il se dépêche (si possible). J’étais poli mais je pleurais. L’étudiante savait depuis la tentative de poser l’instrument le plus gros (normal) que j’étais en douleur, alors pourquoi ne pas avoir essayer de limiter l’attente ? Soit en avisant le médecin, soit en posant l’instrument plus à la dernière minute.
Je pense que j’ai vécu de la violence puisqu’à mon autre colposcopie ça c’était bien passé, c’était la même médecin du début à la fin . Pas d’attente. C’est une violence sournoise où j’ai été négligée, je pense. Je voyais que pour l’étudiante, ne pas déranger le médecin et être prête quand le médecin arrive dans la salle, pour bien paraître, était plus important que de limiter mon temps de douleur, avec cet instrument que je ne supportais pas.
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