Le comble c’est qu’elle a vraiment fait un mauvais travail et qu’aujourd’hui

En juin 2014, j’ai accouché à l’hôpital 06.6 de Montréal. Arrivée à 9cm de dilatation, j’ai commencé à pousser, mais j’étais tellement en douleur que j’oubliais de prendre de bonne respiration. Le cœur de bébé descellerait alors l’obstétricien a procédé à une épisiotomie sans mon consentement et sans analgésique. Ma sage-femme lui a dit : « vous savez qu’elle n’est pas gelée? » Et il a coupé sans répondre. Puis, il a recousu mon périnée très très serré. Quand ma sage-femme a regardé mes points de suture lors de sa visite à la maison 2 jours plus tard et elle a enlevé 2 points de suture non nécessaires et qui me gardaient dans un état de douleur constant. En avril 2017, j’ai accouché au 06.5. Ma sage-femme n’était pas disponible alors j’ai accouché auprès d’une stagiaire et de sa superviseure que je n’avais jamais vue. Mon accouchement s’est déroulé exactement comme mon premier, mais en plus rapide. Reconnaissant les signes de la poussée qui approche, je demandais sans cesse à la stagiaire de regarder j’étais rendue à combien, car nous devions retourner bientôt à l’hôpital pour prendre une dose d’antibiotiques. Elle refusait disant que ça ne servait à rien. Quand le bébé est sorti, je me suis précipitée sur le lit et j’ai accouché tout proche sur le coin d’un lit. La sage-femme ne m’accompagnait pas dans la poussée, car elle a été trop surprise par l’arrivée du bébé, et ce, malgré mes demandes. J’ai excusé la stagiaire et son manque d’expérience, mais pas la superviseure qui n’est jamais intervenue et qui au lieu de m’accompagner ou de compenser pour sa stagiaire débordée s’est permis de prendre des photos de l’accouchement avec le téléphone de mon chum sans notre consentement. On n’en revenait pas. J’ai passé ensuite près de 2 heures à me faire recoudre le périnée. C’était ultra douloureux, super inconfortable, car j’étais encore installée toute croche sur le bord du lit et interminable. Le comble c’est qu’elle a vraiment fait un mauvais travail et qu’aujourd’hui un morceau de peau pendouille de mon périnée.